On fait du Milsim les gars !


Ou pas.

En fait, là, pas du tout. Oui je sais c’est un peu révoltant/dégeulasse/outrageant d’attirer un lectorat qui sera sans doutes peu enclin à trouver un intérêt dans le présent article. Comment expliquer « ça » dans votre historique plus tard? Je t’aiderais dans un prochain article qui s’intitulera « l’ostréiculture en milieu hostile ».

Passons, venons au fait. Toi qui rêve de changer de couleur (de cheveux, s’entend,je ne m’adresse pas à ceux et à celles qui se prennent pour Sylar , non je ne suis pas de celle-là). Toi qui le fait au plus grand mépris de ta fibre cappillaire. Toi qui veut passer du noir-pocahontas au blond-Alice-in-the-wonderland en passant par le look Petite Sirène, tu as bien fait de continuer à lire.

J’ai moi-même fait et voulu du rouge.Je le confesse même si j’avais jeté la première pierre à Rihana quand elle l’avait fait.

Plusieurs constats m’on vite sauté à la gueule sont vite apparus :

  1. Quand on veut du cuivré, rougoyer, flamboyer, il faut savoir que ça va dégorger. Oh que oui, ta baignoire ça va être la nuit de la Saint-Barthélémy. Ta douche va en prendre un coup et ta couleur va s’affadir. Ce qui nous amène au second point.
  2. Il va donc falloir que tu refasses ultra-régulièrement ta couleur (hommage aux cheveux morts) jusqu’à ce que ces saloperies de pigments s’accrochent, sinon bonjour reflets que je qualifierais d’holographiques (roux/orange tout ça).
  3. Si tu t’en fous et que pas comme moi tu rêves de cheveux longs et fort , ça va. Parce que vient en suite ce théorème appliquable dans beaucoup de domaines « C’est comme les mikados, on en a jamais assez ». On en veut toujours plus. Oui.Quelques soient la couleur que j’ai pu faire c’était toujours acajou. Pas rouge-rouge. Et là je me suis dis en moi-même « s’il faut que tu décolores, ce n’est pas la peine ».Maintenant il y a certainement des coiffeurs plus scrupuleux je ne dis pas. Donc, pas possible.Sauf si je m’en fous d’avoir une couleur vomi et des racines cendres de 3km (ça ferait un ombré hair inédit, moche certes).
  4. Et au final,  je n’ai pas voulu passer par la case « oula, on va devoir décaper, gommer, décolorer pour un résultat minable ».

C’est là, qu’entre deux considérations sur le lait de coco et ses vertues et autre réflection qui mériteraient sans aucun doute un prix Nobel, je suis tombé sur le Colour B4.

Et c’est? Pour les plus pointus (ou ceux qui traînent inalassablement sur les forums de coiffure), c’est un peu comme le coulour out. Dans ce cas, pas d’amoniaque pas de poudre décolorante.En (très) gros, le produit agit sur les molécule des/de la colorations(s) et pour l’avoir vérifié n’influe donc en rien sur la couleur naturelle.

Normalement,  on doit se retrouver comme au moment où on  va appliquer sa première colo: vierge .

Comme de toutes façons, je n’aime pas mon état sauvage (cendre, pas blond clair cendré mais comme de la cendre…comme si tu pouvais secouer ta cheminée sur toi en sommes…) j’avais accusé le coup en prenand un petit blond foncé.Au cas où.

J’ai eu raison (mais en même temps je n’ai pas cellophané,un conseil, cellophane !). Je suis ressortie dérougie mais blondiesquement bizzare (un peu comme une décolo ratée).Pas grave, j’ai recouvert avec ma coloration pour mamie.

Et j’ai été heureuse, mes cheveux aussi.

(Non pas de photo, sauf si tu penses qu’une webcam Trust peut t’apporter des élément concluants…mais beaucoup de témoignages made in angleterre sur le net).

En sommes, Colour B4: Oui ou Non?

UN GROS OUI ! Pas de casse pour un bon résultat sans décoloration et sans mettre 70 euros là dedans, ça coute dans les 15 euros et tu gardes tes cheveux sur ta tête.

Je l’achète où?  Ici .

B.O. du moment : Your song-Ellie Goulding

Laisser un commentaire